Sur le front de l’enseignement des TM, ACT et cuisine, les choses ont bougé depuis notre avis du 7 janvier dernier.

Pour rappel, ce problème concerne en particulier aux collègues semi-généralistes (ou anciennement breveté-e-s) et spécialistes, payé-e-s respectivement au niveau 11A puis 12A ou 11 puis 12) et qui voient leur salaire pour les périodes de travaux manuels, ACT ou cuisine baisser au niveau 10, voir 10A suivant les cas.

En réalité, la baisse de salaire n’interviendra qu’en août comme l’indique le courrier de la DGEO arrivé la semaine dernière, il n’y a donc pas lieu de faire recours maintenant. Les personnes qui auraient déjà commencé à rédiger leur requête peuvent la laisser au frais jusqu’à la rentrée.

Dans les faits, la DGEO se décharge de sa responsabilité dans l’organisation de l’enseignement et les prestations aux élèves sur les directions d’écoles et les enseignant-e-s. Si des cours de TM ou de cuisine ne pourront plus être assumés faute de combattant-e-s, il est clair pour nous que toute la responsabilité en incombe au département et derrière lui au Conseil d’Etat, et en aucun cas aux directions prises dans l’étau, ou enseignant-e-s qui renonceraient légitimement à voire leur salaire baisser.

La SVMS ne souhaite pas pousser au recours les collègues qui souhaiteraient cesser leur activité dans ces branches pour ne pas être pénalisé-e-s financièrement. La SVMS accompagnera toutefois tous les recours de celles et ceux qui veulent garder un enseignement dans les branches concernées. Les personnes touchées sont priées de reprendre contact au mois d’août avec le secrétariat.

Dans l’intervalle, la SVMS va demander un entretien à ce sujet avec le Directeur général.

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